10 poèmes qui fait pleurer d’amour

Dix poèmes émouvants qui éveilleront les larmes de l’amour dans vos cœurs. Une célébration des émotions profondes.

Dernière mise à jour - 5 mai 2024 6h18
Une fille qui a les yeux pleins de larmes
  1. Échos du Chagrin

    Dans l’ombre des souvenirs, je me perds,
    Les larmes tissent des rivières de l’âme.
    Ton absence, telle une étoile éteinte dans le ciel,
    M’enserre de tristesse, me brûle comme un fiel.

    Ton rire murmure dans les recoins de ma pensée,
    Une symphonie de doux souvenirs, figés à jamais.
    Je te cherche dans l’obscurité, dans mes rêves en suspens,
    Mais seule la nuit répond, tissant sa toile de tourments.
  2. Étreinte Dissipée

    Autrefois, tes bras m’enlaçaient tendrement,
    Désormais, le vide m’envahit lentement.
    Les mots doux que tu chuchotais à mon cœur,
    Se sont évanouis, laissant place à la douleur.

    Les échos de ta voix, une mélodie lointaine,
    Résonnent dans le silence, laissant ma peine.
    Je tente de retrouver ton souffle dans le vent,
    Mais la solitude m’enveloppe, cruelle tourment.
  3. Larmes d’Amertume

    Chaque larme versée porte ton empreinte,
    Un reflet d’un amour qui n’a pas de feinte.
    Les regrets dansent dans l’obscurité de mon esprit,
    La perte de toi, un chagrin que je subis.

    Les promesses que nous avons faites, évanouies,
    Un amour jadis brillant, désormais anéanti.
    Si le temps pouvait se plier à ma volonté,
    Peut-être aurions-nous évité cette destinée.
  4. Chuchotements du Passé

    Dans le silence du soir, ton nom résonne,
    Un écho mélancolique, une lueur qui frissonne.
    La nuit évoque les souvenirs que je garde,
    Une douceur perdue, une blessure qui tarde.

    Ta présence, telle une brise douce et légère,
    Aujourd’hui, n’est qu’une énigme dans l’air.
    Je tends la main vers toi, mais tu es déjà parti,
    Un amour évanoui, un songe, une nostalgie.
  5. Solitude en Écho

    L’écho de ta voix, une mélopée solitaire,
    Résonne dans les recoins vides de mon être.
    L’absence de toi, une mélodie d’amertume,
    Un chagrin silencieux, une tristesse qui fume.

    Les jours passent, emportant nos serments,
    Les étoiles se couchent, laissant nos moments.
    Mon cœur saigne, cherchant ton doux éclat,
    Un amour perdu, une étoile tombée dans le néant.
  1. Écailles d’Amour Déchu

    Sous la lueur crépusculaire, nous valsions en écho,
    Le temps cruel a dérobé notre serment tendre,
    La mélodie s’estompant, comme un dernier souffle,
    Laissant des échos vides, chaos de cendres.

    Les jours d’amour et rire se sont évanouis,
    Étoiles en pleurs, ciel devenu gris-ardoise,
    Dans le creux du chagrin, nos cœurs sont enfouis,
    Un amour jadis vibrant, désormais en déshérence.
  2. Murmures dans la Brume

    Sous le voile de brume, ton souffle s’est éclipsé,
    La promesse chuchotée, un rêve fuyant,
    La toile de l’amour se dénoue, se brise,
    Tandis que le ciel pleure en silence, doucement.

    Les souvenirs tissés, fragiles fils d’amour,
    Se désagrègent, comme châteaux de sable,
    Dans les chambres vides où le cœur s’égare,
    Persiste la douleur du fil éthéré de l’amour.
  3. Élégie des Cœurs Abandonnés

    Deux âmes enlacées, séparées par un chant cruel,
    Une symphonie d’amour transformée en douleur,
    Dans le silence sépulcral, l’amour s’est perdu,
    Le givre de l’hiver recouvre la ferveur.

    Le deuil du cœur, une plainte pour ce qui fut,
    Les rires étouffés, envolés éphémères,
    Le jardin d’amour fané, pétales déçus,
    Deux cœurs jadis liés, brisés en l’air amer.
  4. Sérénade de la Solitude

    Je me tiens seul sur le rivage désert de l’amour,
    Les marées du désir érodent l’étreinte de l’espoir,
    Les promesses chuchotées sont à jamais perdues,
    Englouties par la mer silencieuse du soir.

    Les étoiles qui allumaient notre ciel enflammé,
    Ne sont plus que des braises faiblissant dans la nuit,
    La flamme de l’amour s’est éteinte, soupir empreint,
    Dans l’étreinte de la solitude, mon âme fuit.
  5. Échos de l’Éternité

    Dans des royaumes invisibles aux yeux mortels,
    Où la flamme de l’amour brûle sans fin,
    Nos esprits perdurent, malgré le monde rebelle,
    Dans les échos tendres d’un cri sans fin.

    Le courant du temps ne peut éteindre la flamme,
    La distance ne peut rompre l’étreinte des âmes,
    Dans ces sphères inatteignables par les nuits du monde,
    Notre amour persiste, éternel symbole enflamme.

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